La Douane, les biens culturels et les données
María Esther Portela Vázquez
Chercheuse, Protection internationale du patrimoine culturel
Pixabay stock
Depuis des années, les administrations des douanes réussissent à transformer les informations brutes qu’elles recueillent sur les trafics de drogue, d’armes ou d’êtres humains en données qui, une fois analysées, puissent fournir des indications précieuses dans la lutte contre ces activités illégales. Néanmoins, en ce qui concerne le trafic de biens culturels, les résultats en termes de recueil de données ne sont pas à la hauteur de ceux obtenus dans la lutte contre d’autres domaines de criminalité transnationale. Le présent article distingue les différents types de données qui doivent être collectées, entreposées et analysées à la suite d’une saisie de biens culturels et donne des pistes sur la manière d’utiliser ces données pour optimiser la protection de ce patrimoine.
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