February 29, 2016
fr en
La Douane, les biens culturels et les données

Pixabay stock

Depuis des années, les administrations des douanes réussissent à transformer les informations brutes qu’elles recueillent sur les trafics de drogue, d’armes ou d’êtres humains en données qui, une fois analysées, puissent fournir des indications précieuses dans la lutte contre ces activités illégales. Néanmoins, en ce qui concerne le trafic de biens culturels, les résultats en termes de recueil de données ne sont pas à la hauteur de ceux obtenus dans la lutte contre d’autres domaines de criminalité transnationale. Le présent article distingue les différents types de données qui doivent être collectées, entreposées et analysées à la suite d’une saisie de biens culturels et donne des pistes sur la manière d’utiliser ces données pour optimiser la protection de ce patrimoine.

To access the full text please

Comments ()

Forgot password?

* Mandatory fields

By signing up you agree to the Terms of Use and Privacy Policy

Password reset

Check your e-mail, we sent you a link to reset your password.


Login with Google Login with LinkedIn

Contact us

Thank you for report
Maximum file size 6mb
File is too large